Ce problème, qui ne m’atteint pas, est subit par la profession des Arboristes grimpeurs ou plus vernaculairement grimpeurs-élagueurs. 

Dès le début du confinement les entreprises, dont une grande partie ont moins de 20 salarié.e.s, ont fait le nécessaire pour mettre leurs employé.e.s en chômage technique. Hors par un miracle Pénicauien cette profession est devenue une profession « essentielle à la nation », sous prétexte je cite « C’est le printemps les branches poussent et risquent de faire des dégâts dans les lignes EDF. »

Professionnelle depuis 1991, j’ai rarement vu des pousses tentaculaires instantanées !

Dans le monde de l’élagage quelques entreprises ont les marchés publics pour l’entretien des lignes électriques, peut-être, peuvent-elles être mise d’astreintes pour les urgences, nul ne le conteste.

Toutes les autres, et particulièrement les petites, se trouvent dans une situation ubuesque, car sans aide de l’État elles continuent de travailler, sauf que les clients ne veulent pas de travaux chez eux en ce moment, donc pas d’entrée d’argent. 

Voilà un petit résumé de ce qu’il se passe dans le monde de l’élagage et plus généralement dans le monde des cotisants MSA, qui sont tous considérés comme des agriculteurs.

Mars 2020

0 Partages
Tweetez
Partagez